jeudi 6 janvier 2011

Geneviève Amyot


D'agréables surprises se présentent parfois au promeneur qui s'aventure hors des circuits les plus fréquentés.
C'est ainsi que sur le mur du balcon du 355 rue Lavigueur une inscription attire mon regard.
Elle rappelle le souvenir de Geneviève Amyot (1945-2000), poétesse québécoise, en citant une phrase de son livre de poésie Je t'écrirai encore demain publié en 1994.
« Le fleuve est un enfant immense
qui n'en finira jamais de soutenir
ses oiseaux. »

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Chère Geneviève dont je n'ai appris le décès que dernièrement. Elle fut ma professeure de Français en 1968, École normale Notre Dame de Québec, enjouée, étonnée par son âge, elle paraissait réellement 10 ans de moins. Bons souvenirs, « Le fleuve est un enfant immense
qui n'en finira jamais de soutenir
ses oiseaux. » ce cher fleuve qui en inspire plusieurs. Nous l'avons donc partagé. Alice Couture, Ph.D., (comme toi), auteure, google : Alice Couture coffret, démocratie scolaire.

Anonyme a dit…

hommage à Geneviève Amyot, Ph.D.